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 Journaux spécialisés automobile

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Docteur404
François
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tricycles
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tricycles

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MessageSujet: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptyMer 5 Déc - 17:21

Sad Je suis attristé par le manque de sérieux et de qualité (contrôle des sources) d’informations publiés par certains de ce journaux, je ne dis pas que on n’a pas le droit à l’erreur, mais parfois on s’approche du ridicule. clown

Dans la LVA de cette semaine, un journal que je considère comme étant une bonne source d’information et de détente (témoignage de la cuvette des WC à l’appui  lol! ), il y a de quoi s’étonner de la complaisance ou du manque de compétence de certains journalistes qu'a mon avis gobent les mouches !

Loin de moi l’idée que le journaliste en question doit tout savoir ou tout connaitre (à mon avis c'est impossible), mais là je vous laisse juger par vous-même.

En premier lieu, j’apprends que le pilote Cesar Marchand à fait entre autres son apprentissage sur la marque disparue… « NASE »

Journaux spécialisés automobile Lva_410

Il s'agit bien entendu de MASE

https://tricyclecaristes.1fr1.net/search?mode=searchbox&search_keywords=mase&show_results=topics


Journaux spécialisés automobile Lva_110



Ensuite, que l’oncle de ce monsieur en photo ci dessous, a  importé en 1947  sa Fiat 509 Monza, qui a couru le GP de Tunisie avec son moteur de 990cc qui a été remplacé par un fragile 1100cc , le tout étant certainement à la base et comme souvent avec ce genre de voiture une reconstruction (assez réussie par ailleurs) sur une base de berline.

Journaux spécialisés automobile Lva_210

Une photo de la vrai d’époque :

http://woiweb.com/wiki/index.php?title=File:1927_Fiat_509_SM_Corsa_Balbo.jpg

Journaux spécialisés automobile 1927_f10


Et le pompon c’est l’Alfa Romeo Monza de 1935, avec un 4 cylindres et 160ch, une des premières signée par Enzo Ferrari lui-même, excusez du peu, seule avant-guerre de la manifestation, qui est en train d’être mise en configuration d’origine et sécurisée dans un établissement réputé.

Les deux compères devaient avoir le nez qui s’est allongé de plusieurs dizaines de centimètres et ont du se pisser de rire en voyant le journaliste prendre des notes pour écrire son article.

Et pourtant ils ont pignon sur rue :

https://www.dinosport-auto.com/

Journaux spécialisés automobile Lva_310

Voici la réalité de cette voiture SAGA Alfetta

https://www.google.com/search?q=saga+alfetta&client=firefox-b&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=0ahUKEwil1czx8IjfAhUFIlAKHSW-Bq4Q_AUIDigB&biw=1278&bih=764

http://kitcar.bb-fr.com/t4169-retour-des-saga-alfetta-un-an-dja

Journaux spécialisés automobile Alf_fa10


Dernière édition par tricycles.ch le Mer 5 Déc - 21:00, édité 1 fois
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didierd




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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptyMer 5 Déc - 20:59

Pour la SAGA, l'autodrome de Linas la présentait aussi comme une Monza Scuderia Ferrari dans leur mail et je leur ai répondu "si çà c'est une Alfa Monza scuderia Ferrari, moi je suis le pape ! Cà ressemble plutôt à une Saga des années 80 réalisée par Jean Louis Baud et sérieusement bidouillée par son propriétaire !".
C'est bizarre, ils ne m'ont pas répondu scratch
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steph41

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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptyMer 5 Déc - 22:59

MAIS ILS NOUS PRENNENT POUR DES CONS CES PETITS CONS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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PIJO3007

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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptyJeu 6 Déc - 0:16

J'ai moi aussi envoyé un mail à la rédaction de LVA pour signaler que la voiture à droite sur la photo
du Rallye de PAU en 1928 n'est pas une PEUGEOT mais une Licorne HO2 dont je possède une photo :


l'article:
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ma photo:
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tricycles

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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptyJeu 6 Déc - 0:22

Shocked pour ce numéro ils ont fait fort Rolling Eyes
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popoffe




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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptyJeu 6 Déc - 1:18

Lva et son jumeau lvm n'ont jamais ete des exemples de rigueur.!....Je me rappelle tjs a l'epoque lva, lvm n'existait pes encore et donc les sujets motos y etaient inclus. J'avais envoye (entre autres...) un petit texte explicatif sur les moteurs jap parcequ'ils avaient pondu un article pour le moins approximatif pour ne pas dire plus. Qques jours plus tard a la parution de lva des copains me demandent si je perdais la boule ou quoi. Mon texte avait ete modifie ( pour des questions de pagination m'a t on dit.... j'avais qd meme un peu regimbe!) et ne voulait plus rien dire voire quasi le contraire de ce que j'expliquais. Ce qui signifait que le redacteur ou les corrcteurs n'y connaissaient que dalle. Genant pour un canard specialise. Et donc j'ai arrete d'acheter et de lire ce genre de prose. Il doit y avoir un an j'en ai remis une couche sur leur forum . Ce qui leur a fortement deplu et donc j'ai ete bannii. Arf!Arf! Qd il n'y aura plus que des mauvais chez eux cette evidence va devenir tellement aveuglante qu'ils vont finir par plonger. On pourrait dire bon debarras le pb c'est que leur demarche envahissante qui en fait ne vise que le pognon a finit par faire disparaitre les bonnes publications qu'etaient le fanauto l'automobliste l'enthousiaste le motocyclettiste auto passion etc. Et ne reste que les trucs les plus affligeants. Faudrait bien la aussi qques gilets jaunes pour remettre les pendules a l'heure. Si on se donne la pêine de chercher cette rubrique risque de devenir plethorique. Parceque la ca parle de choses contemporaines. Enfin presque . Mais si on remonte dans le temps y aussi des choses qui valent le detour.
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tricycles

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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptyJeu 6 Déc - 10:28

Shocked Idem pour moi, quand je leurs fait part (de manière constructive) d'une erreur ou d'une remarque, il ne me répondent plus, sauf pour envoyer la facture d'abonnement. Laughing

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François

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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptyJeu 6 Déc - 20:18

Ils se sont peut être trompés avec l’édition du LVA du 1er Avril ????
Où bien ils testent nos connaissances.....
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Docteur404




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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptyDim 9 Déc - 15:40

LVA est devenu un journal de journalistes. Donc il faut accrocher le lecteur, faire du grand public et faire plaisir à tout le monde, la précision ou l'authenticité est secondaire. Le plus consternant est la partie compte rendu de manifestations : tout est toujours parfait, on ne parle jamais des loupés ou des organisations défaillantes.
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MessageSujet: LVA   Journaux spécialisés automobile EmptyDim 9 Déc - 15:58

Tout à fait d'accord avec toi Doc ! Je conçoit que LVA suive la tendance des manifs et se rajeunisse. Mais de la à raconter des bêtises ! Pour ma part, je le feuillette au kiosque et si il y a vraiment un article qui m'intéresse, j'achète.
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Docteur404




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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptyLun 10 Déc - 1:44

J'ai arrêté l'abonnement quand ils ont supprimé les mots croisés ....
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François

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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptyMar 11 Déc - 13:08

Pour ceux qui faisaient les mots croisés : 3 ou 4 semaines avant l'arrêt des mots croisés, la définition (en bas à droite)
donnait le mot "FIN" ; C’était une façon élégante de nous remercier.
Pour le reste il manque maintenant des gens de culture pour ce journal.
Au moment de la parution du LVA (nouvelle maquette) La page de couverture était tout en couleur avec une "magnifique" Traction Citroën bleue BUTAGAZ.... Le bon goût était arrivé ! ! !
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didierd




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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptyMar 11 Déc - 20:38

d'où l'expression "çà sent le gaz ?"
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Poussez pas




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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptySam 15 Déc - 16:43

Autoretro de janvier, un bel et bon article de Jicé sur une balade de cyclecar et d'avant guerre, avec quelques membres de l'ATF.

Un compte rendu toujours avec beaucoup d'humour, même si on passe pour des alcoolos (doit y avoir un fond de vrai qd même...)

.
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tricycles

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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptyDim 16 Déc - 0:54

Very Happy Merci pour l'info, je me réjouis de lire ça bounce
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Poussez pas




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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptyJeu 3 Jan - 20:21

Les années changes, mais pas les conneries (LVA du 3/01/2019) :

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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptySam 5 Jan - 13:06

scratch C'est quoi une Amilcar CGS 5 de 1930? Suspect Journaux spécialisés automobile 5

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François

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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptySam 5 Jan - 17:26

Une Amilcar CGS 5 de 1930 c'est une bidouille.... Avec moteur SIMCA bien sûr ! !
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RubyDS

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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptySam 5 Jan - 19:51

François a écrit:
Une Amilcar CGS 5 de 1930 c'est une bidouille.... Avec moteur SIMCA bien sûr ! !

Non celle ci est plus exotique,elle est motorisée par un Amilcar compound culbuté.
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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptyLun 7 Jan - 17:05

Bonjour,

Je rejoins assez l'avis de popoffe et de l'admin ; malheureusement LVA, il y a longtemps que je ne l'achète plus (ni LVM) ; j'ai découpé les articles d'Alexis sur les ancêtres ainsi que l'histoire des Sportcars rédigé et illustré par le regretté Pierre Dumont...le reste est parti à la déchetterie sans regrets ; Auto retro, comment dire, la plume de Jicé ne suffit plus pour que j'ai le coup de coeur...je comprends le rajeunissement mais sincèrement çà ,ne m'attire pas du tout ; au final, j'achète "The Automobile" via leur site ; bon c'est écrit en anglais mais je m'y retrouve...pour la moto snif il me reste mes motocyclettistes.

En conclusion l'argent économisé permet d'acquérir un bon livre !!

A+

Jm
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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptyVen 11 Jan - 21:06

Poussez pas a écrit:
Autoretro de janvier, un bel et bon article de Jicé sur une balade de cyclecar et d'avant guerre, avec quelques membres de l'ATF.

Un compte rendu toujours avec beaucoup d'humour, même si on passe pour des alcoolos (doit y avoir un fond de vrai qd même...)

.

Very Happy Article très sympa et plaisant à lire, pour une fois qu'on tourne ça en dérision et qu'on laisse de coté l'image élitiste qui essaient certains de mettre en avant.

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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptyVen 11 Jan - 21:13

Very Happy Dans le même genre et de la main du pape :

http://cercle.amilcar.free.fr/?page=potherat&father=parlent

Plus qu'une voiture, une Ambiance...

par Jacques POTHERAT

Ils n'étaient pourtant pas mauvais ces petits Amilcar, c'étaient même de très bons cyclecars, d'excellentes voiturettes, mais les Salmson devaient être meilleures. Si tant est qu'il n'existe de miracles nulle part, il ne s'en trouve encore moins en automobile...

Non pas une bombe, mais un pétard mouillé...

Pourtant le départ avait été pris, si l'on peut s'exprimer ainsi, pour des roues Rudge, sur les "chapeaux de roues". Encore marquée de la tache originelle cyclecariste, avec une cylindrée voisine de 1100 cm3. et un poids inférieur à 350 kilos, on aurait dû avoir entre les mains une véritable petite "bombe". Ce n'était malheureusement qu'un pétard mouillé...

Un choix considérable de carrosseries séduisantes, constituaient en fait l'atout maître de la marque : beaux C.G.S. aérodynamiques, aux fausses allures de voitures de Grand Prix, plus vrais que nature ; carrosseries Skiff en bois exotiques, propres à faire rêver des tribus de pagayeurs sioux ; C.C. entoilés, fragiles les nacelles légères et graciles comme des cellules de Blériot ou d'Antoinette, fuselées comme des Zeppelin. Tout ces modèles étaient propres à décharger les inhibitions de leurs heureux propriétaires.

L'Amilcar, tape à l'oeil, c'était le grand "Bernard l'Hermite" de la gent cyclecariste, magnifique coquille abritant un ridicule insecte : le moteur.

De mécanique ? point, ou si peu... tout .juste un propulseur rudimentaire. Mais quel échappement !

Les techniciens de Salmson eurent à cœur, tout au long de leur carrière, d'ignorer les sciences subtiles et délicates de l'échappement. Faute de concilier judicieusement, tubulures, mégaphones et , décibels, leurs moteurs n'exhâlaient que cliquetis asthmatiques, bâillements à peine contenus, ou soupirs polis. La mélancolie de l'enfant trop bien élevé, éternellement sage, ennuyeux.

L'Amilcar s'annonçait de loin, cancre, m'as-tu vu, agressif, un tantinet frondeur. Une sonorité ronde, pleine, agressive, un pied de nez. . . On doublait "pied à la planche", la vanne de l'échappement libre ouverte à fond, gueulante. L'honorable et respectable père de famille, calé au fond de sa 'berline, recevait alors à pleine puissance, le coup de pied au cul d'une génération heureuse de vivre, ravie de ne pas avoir eu dix-huit ou vingt ans entre août 1914 et novembre 1918.

Il y avait aussi des amateurs pour les bananes de Joséphine Baker.

C'étaient les années réputées "folles", dont nous n'ignorons plus les sempiternels clichés : la "garçonne", Modigliani, dans sa soupente, se mourant dans les affres de la phtisie galopante, au milieu d'un Montparnasse indifférent (où il était déjà de bon ton de voir le tout-Paris s'afficher pour la plus grande joie et la prospérité des limonadiers). On allait volontiers s'encanailler à Pigalle, mais les vrais durs préféraient faire la loi sur les "fortifs". Paul Poiret rêvait de voir défiler dans ses trois péniches-ateliers de couture, toutes les houris de Mahomet. Pendant que son frère Raymond s'exhibait en péplum et spartiates, dans un Saint-Germain-des-Prés qui n'étaient pas encore la "poubelle à snobs", Isadora Duncan se pavanait en Amilcar sur la Promenade des Anglais, au côté de beaux jeunes gens soigneusement gominés au "Bakerfix" ; une vie trop courte pour une écharpe trop longue (re-cliché). . . De cette époque, les mythes nous abusent.

Incontestablement, le Salmson était le meilleur, hélas il portait en lui l'infinie tristesse du premier de la classe ; la sclérose des jeunes filles "bien pensantes" élevées dans les principes, ce je ne sais quoi qui n'incite guère au viol.

L'Amilcar était le plus beau, le plus désirable. Il faisait envie, et c'était suffisant. (Un peu quand même la Bugatti du pauvre, ou plutôt du pas tout à fait riche).

Il y avait en fait deux clientèles aux aspirations distinctes : l'une applaudissant sans réserve Joséphine Baker, ses négritudes, ses cocotiers et ses bananes ; l'autre déjà sensible au saxophone du jeune Sydnet Bechet.

L'Infâme chenille devenue papillon...

Nous allons voir comment une marque, née sous d'heureux auspices ne gagna qu'un nombre restreint des épreuves auxquelles elle prit part, s'abstenant même, vers la fin, de figurer en même temps que les Salmson sur une grille de départ !

Les premières compétitions se déroulaient entre gens du meilleur monde, la victoire pour Salmson, la deuxième place pour Amilcar, on "remettait ça" dans l'ordre inverse à la prochaine occasion, la première place pour Amilcar et la deuxième pour Salmson, et ainsi de suite. . . pour le plus grand plaisir des pilotes, des clients et des commanditaires. Si d'aventure un outsider (E.H.P, Sénéchal, Mourre ou autres Mauve . . . ) venait troubler cette belle ordonnance, réputée immuable, on devait cet évènement à une panne immobilisant l'une des deux équipes rivales, voire les deux à la fois. Tout aurait pu durer ainsi éternellement, si... si l'infâme chenille n'était devenue papillon.

Emile Petit, sans doute lassé d'une clientèle d'anciens combattants nostalgiques, se fiant aveuglément à une réputation acquise par Salmson au temps où ses pilotes se distinguaient dans un ciel de gloire, décida enfin de construire un vrai moteur. Pas n'importe quoi, non, un "double arbre", un vrai, un chouette, avec soupapes desmodromiques, bielles légères, et même, pour les raffinés, un compresseur, un vilebrequin à rouleaux et un double allumage. On allait montrer ce dont on était capable...

Pégase en avait un coup dans l'aile.

Du côté de la rue du Chemin Vert, avec un moteur "tristement teuf-teuf et latéral", on se préparait un avenir de larmes de sang.

Casse, Goutte, Bueno ou Desvaux, et bien d'autres encore, devinrent des noms vite familiers du service course Amilcar ; ils figuraient en tête du palmarès de chaque manifestation, au Ventoux, au Grand Prix des Cyclecars, au Bol d'Or et même hors de nos frontières, à Brooklands ou Saint-Sébastien.

Au début, on essaya bien de résister, de relever le gant, en appuyant un peu plus sur l'accélérateur et un peu moins sur les freins, on prit plus de risques. On alla même jusqu'à soigner la présentation publique, ainsi au Bol d'Or 1925, on aligna trois voitures peintes, l'une en bleu, l'autre en blanc, et la troisième en rouge. Peine perdue, Salmson était toujours en tête !

De courses de côte de seconde ou troisième catégorie en fêtes et réjouissances villageoises, meetings de sous-préfecture ou de chef-lieu de canton, l'équipe Amilcar en arriva à ne plus oser sortir. La mine piteuse, réduits à suivre l'événement à travers la presse, Morel et les deux frères Mestivier devaient certainement envoyer le coursier au kiosque du coin de peur d'être reconnus....

Les ventes cependant ne marchaient pas trop mal, des Amilcar on en achetait encore suffisamment. Pour aller promener sa petite amie sur les bords de la Marne ou dans les bois de Saint Cucufa, ou en trouver une en jouant les sportifs aux terrasses de Montparnasse à grands coups d'échappement libre. Les pères fortunés offraient de beaux C.G.S. longs comme des havanes, aux jeunes gens méritants et boutonneux, élèves de Louis le Grand, Janson où Stanislas. Où en achetait pour aller en famille, le dimanche, planter des radis à Maisons-Laffitte ou porter une azalée à la grand'tante de Becon-les-Bruyères.

Pour courir, bien entendu, personne n'en voulait plus, Pégase en avait un coup dans l'aile.

Sur la nappe d'une brasserie...

A la fin de 1924, devant l'ampleur du désastre, la résistance s'organise activement, sous l'égide du Conseil d'Administration de la Société Amilcar. En étroite collaboration, l'ingénieur "maison" Edmond Moyet, Morel et Mestivier, noircissent des rames de papier à longueur de journée. (André Morel et Edmond Moyet étaient en fait les fondateurs ou plutôt les créateurs d'Amilcar. Leur association naquit d'une rencontre en 1920 au restaurant Exelsior, rendez-vous du gotha de la Porte Maillot. A la fin du repas particulièrement bien arrosé, sur la nappe copieusement recouverte de crayonnages, on pouvait discerner les grandes lignes du futur cyclecar). Revenons donc à notre triumvirat, qui, s'inspirant de la 12 cylindres Delage du Grand Prix de l'A.C.F., donna naissance à une petite merveille, synthèse de ce qui se faisait de mieux alors en matière de technique automobile : 1100 cc., 6 cylindres, double arbre et compresseur. La cylindrée avait été choisie pour courir en "voiturettes" la formule Grand Prix ayant été ramenée à 1500 cc. pour la saison à courir.

Le prototype tentait ses premiers pas à la fin de l'été 1925, tournant à la moyenne de 95 kilomètres dans la dernière heure. André Morel et Edmond Moyet eurent alors une pensée pour Marius Mestivier, qui avait trouvé la mort aux 24 Heures du Mans (Morel et Mestivier faisaient équipe l'accident se produisit aux premières heures de la nuit).

Les experts et la presse spécialisée, accueillirent avec enthousiasme la nouvelle venue. Parmi les épithètes variées, métaphores et périphrases diverses, on pouvait relever fréquemment "Grand Prix en réduction" ou "petite Delage", ce qui est un compliment ; néanmoins elle s'affirma comme ayant son caractère propre et ne devant rien à personne. Charles Faroux, le grand journaliste automobile, fit paraître dans "L'Auto" du 11 novembre, un article dithyrambique, peut être avait-il été sensible au banquet offert par la marque. C'est un chef-d'œuvre de louanges et de coups d'encensoirs.

Pour parvenir au but, il faut beaucoup de courage.

Enfin, un beau jour de novembre on sortit la remorque, et l'équipe prit la direction de Gometz-le-Chatel. Ce n'était qu'une course de côte, mais pour un début, il convenait d'être modeste dans ses ambitions. Pour parvenir au but il faut beaucoup de courage, Amilcariste échaudé craint l'eau froide... On ne fut évidemment pas encore premier, mais cependant on se fit remarquer avec une troisième place derrière la 12 cylindres Delage et une 1500 ce. Talbot ; c'est quand même pas mal.

Retour dans l'enthousiasme, suivit de bien d'autres, l'avenir s'annonçait sous un jour nouveau. Bref, on allait enfin pouvoir se marrer un peu. C'était maintenant au tour de Morel et de ses petits copains, de se taper sur les cuisses en voyant arriver l'équipe Salmson sur le terrain. Celle-ci ne nourrissait plus guère d'illusions, par manque de préparation le 8 cylindres queue attendait comme le Messie, ne valant guère que le poids du métal le constituant. L'aluminium, bien que très prisé, ne pèse pas beaucoup dans la balance d'un ferrailleur (si généreux soit-il, et c'est rare).

Génération spontanée, multiplications chienliteuses...

Bien malin qui osera affirmer, en se piquant d'infaillibilité quasi pontificale, combien il y eut exactement de 6 cylindres construites.

La cause est entendue, il y a les voitures "d'usine" et les "mulets", pas nécessairement les meilleures, ni les plus belles. Démontées et remontées sans cesse, elles finirent entre les mains de clients plus ou moins fortunés qui à leur tour les démontèrent et ne les remontèrent pas toutes... On en connaît dans certains "Pompéï de l'automobile", en pièces détachées depuis plus de trente ans, et couvées jalousement par des "pilotes-momies".

Il y a celles que les amateurs de l'époque achetèrent neuves, pour la plupart livrées avec des moteurs à paliers lisses, elles connurent des fortunes diverses. Les mieux loties furent nanties de moteurs à rouleaux, cependant la plupart d'entre elles ont été l'objet de viol à main armée, de proliférations chienliteuses : 4 cylindres latéral, quand ce n'est pas une mécanique de Simca 8, de Traction-avant ou d'Aronde. Un sort, une fin de prolétaire (le premier qui rigole, je lui susurre dans le creux de l'oreille, pas discrètement, l'adresse de leur cachette. De toute façon c'est le secret de Polichinelle ... ). Le ciel nous préserve à jamais de "l'amateur", l'enfer est pavé de bonnes intentions.

Enfin, il y a la génération spontanée. N'ayant jamais vu le jour à Saint-Denis, elles sont le fruit du travail acharné, d'amateurs enthousiastes se livrant à un labeur d'enthomologistes Bénédictins. Ainsi le stock de châssis, moteurs et pièces neuves de Vernon Ball et Bone & Porter, fut racheté par Geoff et J.B. Lyndhurst qui mirent gaillardement en chantier leur troisième voiture, (quant aux deux autres, elles marchent fort).

Ouvrons une parenthèse. Toujours de l'autre côté de la Manche, il nous faut mentionner la Ridley Spécial de Lord Ridley. Il employa ses heures d'oisiveté et les revenus que lui procuraient son titre à la construction d'un moteur 746 ce. Monté sur un châssis de 6 cylindres, il battit quelques records dans sa classe jusqu'à ce qu'un accident vienne mettre fin à la carrière du pilote et de la machine. Passons sous silence, dans le même ordre d'idée,, la Crommard Spécial.

La meilleur part, presque celle du lion.

Une grande carrière commençait pour la petite Amilcar, qui se poursuivra jusqu'à la guerre. On avait viré à coups de "pompes" les fées Carabosses qui auraient pu se pencher sur son berceau.

Bref, c'était parti.

D'origines diverses, pilotes chevronnés rescapés d'une préhistoire de l'automobile encore proche, amateurs de grand talent ou ténors confirmés du volant, Morel, Scaron, Moriceau, de Gavardie, Duray, Pousse ou Martin, grandirent avec la marque.

Que ce soit en course de côte au Val Suzon, à Gometz-le-Chatel ou Gaillon, en circuit routier comme aux Routes Pavées, la coupe de l'Armistice, sur piste Nlontlhéry, Miramas, dans les épreuves de longue durée, les 24 Heures ou le Bol, la 6 cylindres s'était rapidement hissée au rang des meilleurs, pas la part du lion, mais presque.

La faculté d'adaptation du véhicule était impressionnante, avec ailes ou sans ailes, monoplace ou biplace, le châssis était capable de s'aligner, avec chances, au départ de n'importe quelle épreuve.

Morel et Duray étaient les spécialistes des épreuves de longue haleine, et des records (pour la première fois le cap de 200 km/h. est franchi par une 1100 ce. à Arpajon). De Gavardie s'illustra au Bol d'Or. Moriceau alla porter la bonne parole à Indianapolis 1929. A cette occasion, une 1262 ce. à compresseur fut construite et engagée sous le nom de Thomson Produet Spécial. Un accident se produisit après quelques 90 miles, et il ne reste aux américains rien moins qu'un souvenir imprécis de cet évènement.

De toute façon un coup d’œil au palmarès de la marque, remplace avantageusement tout long bavardage.

Ménie Grégoire consolera vos désillusions.

Il en reste encore beaucoup, on ne peut les compter sur les deux mains, il y a trop de voitures et pas assez de doigts. Vous ne les avez jamais vues ? (ce n'est guère étonnant, à part quatre ou cinq d'entre elles, aucune n'est en état de rouler (même sur une remorque).

là encore, si vous m'envoyez une jolie carte postale parfumée, ou une photo de votre grande sœur, je vous indiquerai leur adresse. Après vous pourrez avoir tout le loisir de téléphoner à Ménie Grégoire pour quelle apporte un remède à votre désarroi, console votre désillusions vous conseille un psychiatre.

Enfin pour résumer brièvement cette voiture, on peut dire sans la déprécier que c'est à juste titre une "voiture de course populaires".

Plus robuste qu'une Bugatti, moins Artistique peut être, elle était née de la logique simple du forgeron gaulois et non de l'éclair de génie du gentleman-bricoleur Milanais
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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptyVen 11 Jan - 21:16

Very Happy J'adore ce passage :

L'Amilcar, tape à l’œil, c'était le grand "Bernard l'Hermite" de la gent cyclecariste, magnifique coquille abritant un ridicule insecte : le moteur.

lol!
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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptyLun 14 Jan - 22:18

Very Happy encore un texte sympa :

http://cercle.amilcar.free.fr/?page=schiff&father=parlent

Mieux qu'une Bugatti...

La perte de tout sens critique est l'une des caractéristiques essentielles des sujets atteints d'Amilcarinite.Toutefois, il arrive que certains d'entre eux, au prix d'un effort surhumain, parviennent à critiquer d'un œil presque lucide leur attitude, celle de leurs congénères voire même à juger sereinement le principal facteur de propagation du virus : l'Amilcar. Témoin cette analyse signée d'un fidèle à la marque après quarante ans d’utilisation intensive.

Le quatre cylindres Amilcar de 1.100 cc attelé à un demi châssis supportant une caisse élémentaire fait pâle figure à côté du rival de son époque le Salmson à arbre à cames en tête. Soupapes latérales, longue course et bielles rachitiques, vilebrequin livré à lui-même entre deux paliers seulement, graissage par barbotage sur les premiers modèles (dépourvus de freins avant), le moteur semble avoir été conçu pour inquiéter son propriétaire. Et si un inconscient devait prendre le volant, la mauvaise volonté du système de refroidissement - ni pompe à eau ni ventilateur - aurait vite fait de lui donner des vapeurs (au propre comme au figuré).

L'embrayage n'a jamais pu choisir entre le patinage et le matraquage de la boîte de vitesses. Les freins ne sont jamais aussi bons que sur la voiture qui précède dans la file. La tenue de route est «sensationnelle» pour le spectateur assistant aux glissades et aux écarts imprévus, bien à l'abri d'une solide protection. Le conducteur, quant à lui, ne peut ignorer que seule une prudence de sioux pourra parer à la souplesse du châssis et à l'absence de différentiel. A l'époque les ponts auto bloquants n'étaient guère connus mais les ponts «auto-glissants» étaient moins chers que le différentiel.

Réglons une fois pour toutes la question des performances. Légendaires, à proprement parler. Les aveux d'impuissance sont pourtant rares parmi les Amilcaristes qui auraient bien tort, avouons-le de faire perdre la face à la marque. C'est pourquoi il vaut la peine d'épingler cet appel au secours, ingénument iconoclaste, publié par un propriétaire anglais malheureux : «J'ai toujours cru, que les CGSS (châssis grand sport surbaissé) étaient vendues avec une vitesse garantie de 75 miles à l'heure. A cette époque, il n'y avait certes pas de contrôle de la publicité, mais tout de même : pourquoi m'est-il impossible de dépasser 65 miles à l'heure en descente, avec vent arrière ? Quelqu'un possède-t--il une CGSS capable d'atteindre les 75 miles à l'heure promis ?».

L'auteur de cet appel angoissé perd sans doute de vue que ce qui compte en Amilcar, c'est «l'impression d'aller vite». L'Amilcar n'est pas de l'automobile ordinaire. La carrosserie toujours un peu juste, serre sous le bras droit. Le coude qui forme un aileron naturel prend la température de la campagne. Des filets d'air frais agacent le cou du conducteur, mais à la moindre côte une chaleur d'étuve monte de dessous le tableau de bord. Leviers de frein et de changement de vitesse s'emberlificotent dans le bas du pantalon.

Encore heureux que le constructeur ait prévu d'installer le passager quelque peu en arrière. Dans cette position effacée, ses jambes ne sont pas plus encombrantes que ses commentaires étouffés par le bruit de la mécanique et de l'échappement. On recommande d'ailleurs l'usage de la deuxième vitesse, particulièrement geignarde, pour dispenser de répondre aux remarques impertinentes.

Ainsi à l'abri de toute distraction, le contact est parfait avec la route et les éléments naturels. On n'en est que plus à l'aise pour apprécier la souplesse d'un moteur dont certains tracteurs agricoles se régaleraient, pour jouir d'une maniabilité de scooter et surtout pour «prendre son pied» avec d'autres Amilcar.

Car là réside le fin du fin. Plaisir d'Amilcar ne se prend que partagé avec des congénères. Roue dans roue, le nez dans l'échappement de l'autre, la main et le pied gauche prêts à répondre par un changement vitesse rapide aux changements d'allure du peloton.

Et c’est alors qu’on comprend ce qui a fait la réputation inusable de la marque, en compétition et ailleurs. Rien ne prédestinait ce moteur sur papier un peu primaire, à se mesurer avec plus modernes que lui. Pourtant, il a du couple à revendre, et il ne demande qu’à monter dans les tours. On découvre qu’un châssis peut bien se tordre un peu, pourvu qu’il soit léger, et que, tous comptes faits, si on sait les régler correctement, les freins sont largement suffisants. D’ailleurs, dans les épingles à cheveux, à condition de savoir le manier, le pont sans différentiel ralentira plus qu’il n’en faut.

La Bugatti du pauvre? Que demander de plus ?

Schiff
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MessageSujet: Re: Journaux spécialisés automobile   Journaux spécialisés automobile EmptyMar 15 Jan - 10:22

bravo ! cheers
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