http://zhumoriste.over-blog.com/article-le-cyclecar-cousin-de-la-moto-ou-de-l-auto-marcel-violet-4-124046742.html
De la Violette on sait seulement que c’était une 700 mono dont l’allure assez bienvenue (photo ci-dessus) s’apparente plus à la voiturette qu’au cyclecar, mais sa simplicité (et son poids) la rangent dans cette catégorie à la fiscalité favorable. Sous une forme plus « touriste » elle sera commercialisée à 2 700 F par les Ets P. Franc & Cie (Levallois – Seine) jusqu’à la veille de la guerre. Elle connaîtra une version à châssis plus long accueillant une volumineuse malle arrière.
Dans la même Revue, un tableau de fin d'année 1913 récapitulait les caractéristiques de tous les véhicules du Salon de Paris. Trois modèles Violette y figurent : une monocylindre (85 mm x 140) à 3 000 F ; une deux cylindres (70 x 130) à 3 500 F ou 3 900 F selon finition et enfin une quatre cylindres (65 x 110) à 5 500 F. Cette dernière offre une transmission par arbre et cardan avec embrayage à cône. Les deux autres utilisent le changement de vitesse à friction et la chaîne unique. C'est en cela qu'elles pourraient se rattacher à la Violette "canal historique" car il n'est jamais rien dit sur d'éventuels liens entre les deux marques. Licence ? Copie ?
D'autant que depuis 1912, Marcel Violet est apparu au volant d'une nouvelle machine. Elle est présente dans le tableau de la Revue de l'Automobile, immédiatement au-dessus de la Violette...